Les meilleures écoles de gendarmerie en France : Votre chemin vers une carrière de gendarme
Embrasser une carrière dans la gendarmerie française est un objectif ambitieux qui requiert une préparation sérieuse. Les écoles de gendarmerie jouent un rôle prépondérant dans la formation des futurs gendarmes, veillant à les munir non seulement des compétences nécessaires mais également à renforcer leur condition physique et mentale pour les défis à venir. La première étape vers cette carrière passe inévitablement par la sélection rigoureuse à l’entrée de ces institutions.
Les critères d’admission en école de gendarmerie
Le processus de sélection pour intégrer une école de gendarmerie en France est méthodique, visant à évaluer tant les compétences académiques que la condition physique du candidat. Les candidats doivent être âgés de 17 à 35 ans selon le concours, et détenir un niveau de formation correspondant au poste visé : gendarme adjoint volontaire, sous-officier ou officier. Ces dernières années, devenir gendarme est devenu encore plus compétitif, notamment avec l’offre de près de 10 000 postes par an pour les adjoints volontaires et un nombre croissant pour les sous-officiers et officiers. Pour maximiser mes chances, je me suis plongé dans le monde des concours, armé de ma curiosité innée et de mon amour pour l’ordre et la sécurité, des passions que je n’avais jusque-là exercées qu’à travers mon intérêt pour l’informatique.
En tant que passionné d’informatique, j’ai toujours été fasciné par la capacité à résoudre des problèmes complexes et à prendre des décisions basées sur des analyses précises – des compétences que j’ai trouvées directement transférables aux exigences académiques et physiques de la formation gendarmerie. En effet, les épreuves comprennent des tests portant sur la culture générale, l’expression française, la capacité de synthèse et les langues étrangères. Des épreuves sportives et psychotechniques complètent ce tableau, évaluant la capacité du candidat à endurer le stress et à démontrer un profil psychologique compatible avec les rigueurs du métier.
Différentes écoles de gendarmerie
La formation dispensée aux futurs gendarmes varie selon le grade visé et se réalise au sein de différentes institutions. Pour les gendarmes adjoints volontaires, la formation dure 13 semaines, marquée par une alternance entre théorie en école et pratique sur le terrain. Les sous-officiers, quant à eux, bénéficient d’une formation plus longue de 12 mois, divisée entre 8 mois en école et 4 mois de stage pratique. Devenir sous-officier a représenté pour moi un véritable objectif, attisé par le désir de responsabilités accrues et d’un engagement profond dans la protection des citoyens.
Je me souviens particulièrement de l’importance de choisir la bonne préparation pour le concours, à l’instar de l’école de gendarmerie de Châteaulin, Chaumont, Montluçon ou Tulle pour les sous-officiers et l’EOGN à Melun pour les officiers. Ces centres de formation sont reconnus pour leur excellente préparation tant sur le plan militaire que professionnel et académique, certains offrant même des diplômes universitaires en partenariat avec de grandes institutions comme l’université Panthéon-Assas. J’ai également évalué les options disponibles via différentes formations afin de compléter idéalement ma préparation.
Se préparer aux concours
La préparation aux concours pour devenir gendarme ne doit jamais être sous-estimée. Outre les qualifications académiques et physiques nécessaires, j’ai rapidement réalisé l’importance de bien se préparer pour réussir. Les classes Prépas Talents, par exemple, constituent une préparation idéale pour le concours d’officier, en ciblant spécifiquement les étudiants de niveau master 2 dans certaines disciplines. De même, les IPAG et CPAG offrent des préparations solides pour ceux aspirant à des postes dans la gendarmerie, ainsi que dans la police nationale.
Ma transition vers le métier de gendarme a été fortement influencée par mon expérience préalable en tant que webmaster spécialisé en SEO. Cette formation singulière a affuté ma capacité d’analyse et de synthèse, notamment lors de l’élaboration de stratégies de contenu, des compétences valorisables dans le cadre des épreuves écrites et orales des concours. De plus, avoir une condition physique optimale est indiscutable, et j’ai donc intégré des routines sportives intensives à ma préparation.
| Poste | Durée de formation | École | Salaire de formation |
|---|---|---|---|
| Gendarme adjoint volontaire | 13 semaines | Varie selon l’académie | 1 616 € nets par mois |
| Sous-officier | 12 mois | Châteaulin, Chaumont, Montluçon, Tulle | 1 616 € nets par mois |
| Officier | 2 ans | EOGN Melun | Non spécifié |
Explorer une carrière dans la gendarmerie nationale représente un engagement significatif qui va bien au-delà des simples critères d’admission et de la réussite aux concours. Il s’agit d’une décision de vie orientée vers le service, la protection des citoyens et la contribution au maintien de l’ordre public. Depuis mon engagement jusqu’à aujourd’hui, j’ai réalisé qu’au-delà des compétences et du savoir-faire techniques, l’une des plus grandes forces d’un gendarme réside dans sa capacité à faire face, à s’adapter et à exceller, quelles que soient les situations rencontrées. Les écoles de gendarmerie en France jouent un rôle inestimable dans la préparation des candidats à ces défis, les équipant non seulement pour réussir dans ce métier mais également pour exceller tout au long de leur carrière.
